tag:blogger.com,1999:blog-1889953080242486396.post4518986708426007539..comments2024-01-30T08:32:18.935-05:00Comments on Les lectures de Prospéryne: Au temps de Dickens, le texte seul se défendaitProspérynehttp://www.blogger.com/profile/00370388832177304685noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-1889953080242486396.post-244238500961305572014-09-10T16:15:54.898-04:002014-09-10T16:15:54.898-04:00Oh, je sais bien que c'est valide pour l'e...Oh, je sais bien que c'est valide pour l'ensemble des produits culturels, mais on dirait que je l'ai pleinement réalisé en lisant cette phrase. Quand au marketing, je ne saurais dire mieux que toi! :SProspérynehttps://www.blogger.com/profile/00370388832177304685noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1889953080242486396.post-52850084696948264392014-09-10T12:09:31.397-04:002014-09-10T12:09:31.397-04:00Hum, au temps de Dickens, on vendait un texte, cer...Hum, au temps de Dickens, on vendait un texte, certes, mais un auteur aussi (comme aujourd'hui : une fois que le premier bouquin avait pogné, les gens en voulaient davantage de la même plume). <br /><br />Et oui, de nos jours, me semble qu'on met beaucoup d'emphase sur l'emballage du texte. <br /><br />Mais c'est dans tous les domaines que les gens achètent "une émotion et une expérience" au lieu d'un simple produit. C'est le résultat d'une société qui ne sait plus distinguer ses besoins de ses désirs : le marketing tente de tout rendre désirable, histoire de vendre plus. Genhttps://www.blogger.com/profile/11635557004131209453noreply@blogger.com